Auteur(s) |
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Contient |
Oui et alors ; Tous les divorcés ; Belles histoires (Les ) ; Au nom du temps perdu ; Exigeons l'impossible ; Ame de poète (Une ) ; William et Jack ; Lego dans la poche (Un ) ; Filles de plus de 40 [quarante] ans (Les ) ; On ne choisit pas d'aimer ; Bain de 23h30 (Le ) ; Indociles heureux (Les ) ; |
Editeur |
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Date d'édition |
2021 |
Description |
1 disque compact (45 min). 1 livret |
Note |
Textes des chansons |
Thème(s)- Sujet(s) |
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Langues |
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Ean |
0194398124421 |
Pour fêter ses 50 ans, Bénabar s’offre un album qui synthétise tout ce qui fait son style depuis son premier album en 1997. Le roi des petites histoires de la vie quotidienne chantées avec humour et émotion (L’effet papillon, Politiquement correct) propose un échantillon de textes dont les thèmes vont de la description d’un bain de minuit en Bretagne (Le bain de 23h30) jusqu’à celle du temps qui passe (Au nom du temps perdu), en passant par les sujets de société intemporels comme dans "Tous les divorcés" (dont l’introduction au piano est un clin d’oeil ironique à "Pour un flirt" de son idole Michel Delpech). Dans la chanson qui donne son titre à l’album, il s’attaque de manière plus précise à l’époque dans laquelle on vit, celle des humbles insoumis, qu’il met en opposition avec les faux rebelles et autres donneurs de leçons qui envahissent l’opinion publique. Et qui dit 50 ans, dit nostalgie, comme celle qui irrigue "Un lego dans la poche". Musicalement, Bénabar reste fidèle à ses amours très « variété bastringue et orchestrale 1970s », avec toutefois de petites incursions du côté des synthés eighties (Les belles histoires), ou encore le pastiche de Jean-Sébastien Bach (Une âme de poète). Quant à la voix amicale et légèrement gouailleuse de Bénabar, elle ressemble de plus en plus à celle de son maître Francis Lemarque, lequel savait lui aussi évoquer les « indociles heureux » sans démagogie, ni facilité. ″Nicolas Magenham/Qobuz