Auteur(s) |
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Avec |
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Contient |
She's sweetest when she's naked ; Murrays march (The ) ; My Nanio ; She's sweetest when she's naked (ensemble version) ; Bottom of the punch bowl (The ) ; Concerto grosso n ̊ 5, d'après Domenico Scarlatti, ré mineur ; Concerto grosso n ̊ 12, d'après Arcangelo Corelli, H.143, "La Folia", ré mineur ; Treatise of good taste in the art of Musick, "The night her silent sable wore" (A ) ; Serse, HWV.40 ; Alcina, HWV 34 ; Concerto grosso, op.3 n ̊ 2, HWV 313 ; Concerto pour violoncelle et cordes, INP 18, sol majeur ; Fuga e grave, sol mineur ; Concerto pour violoncelle et orchestre n ̊ 2, op.14 n ̊ 2, sol majeur ; |
Editeur |
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Date d'édition |
2022 |
Description |
1 disque compact (78 min). 1 livret |
Note |
Textes des chansons |
Thème(s)- Sujet(s) |
récital : violoncelle ; musique classique : violoncelle ; musique "classique" : Italie |
Langues |
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Ean |
5051083175555 |
Accompagnée de l’Ensemble Pulcinella dont elle tient les rênes, Ophélie Gaillard nous entraîne pour une joyeuse virée dans les nuits londoniennes du XVIIIe siècle. A cette époque Londres constitue le coeur bouillonnant de l’effervescence artistique européenne, et se positionne comme l’arbitre arrogant des différentes tendances venues d’Italie, d’Allemagne et d’ailleurs. La Grande-Bretagne apparaît comme le lieu de toutes les expressions possibles, la censure y étant moins forte que sur le reste du continent.Clameurs, étourdissements et frénésie traversent cet album aux couleurs chatoyantes, où le trépidant violoncelle d’Ophélie Gaillard passe d’un registre à l’autre, de Haendel à Cirri, d’Oswald à Geminiani avec une énergie intarissable.La présente rétrospective offre de très agréables parenthèses vocales où la violoncelliste est rejointe par la voix veloutée de Sandrine Piau (Alcina), et celle cristalline de Raquel Camarinha (Ode for St. Cecilia’s Day). Mais la meilleure participation reste sans aucun doute celle de la mezzo-soprano Lucile Richardot qui apporte aux mélodies un supplément de théâtralité plus que jouissif. A l’approche du printemps, "A Night in London" arrive à point nommé et nous offre un réveil revigorant, idéal pour quitter définitivement toute léthargie hivernale. ″ Pierre Lamy/Qobuz